La 26ème édition du Trophée Hassan II ne vaut pas que par la valeur des raquettes de renommée qui y prennent part, ou par le fait que c’est là le premier vrai baptême du feu pour une nouvelle équipe dirigeante, soucieuse de relever le défi de belle manière. S’il y a un fait qui mérite d’être relevé, c’est bien la forte présence de celui qui, un demi-siècle durant, s’est déployé de toutes ses forces avec une passion inégalée pour la petite balle jaune à hisser haut le tennis national. Il s’agit bien évidemment de Si Mohammed M’jid qui vient de passer le relais au nouveau président Fayçal Laïraïchi. C’est bien la première fois que le Grand Prix Hassan II que Si Mohamed Mjid a mis sur pied tout en veillant à l’assurer des meilleures conditions qui soient, pour qu’il parvienne à rivaliser avec les tournois connus de par le monde, se déroule sans lui.
Pas vraiment. Le beau Central d’Al Amal porte pendant cette 26ème édition et portera pour toujours le nom de « Mohamed Mjid ». Un bel hommage et une belle reconnaissance amplement mérités. Chapeau bas également, à tous ces directeurs qui se sont succédé depuis la création du Trophée en 1984. Nous citerons Larbi Outaleb, Fayçal Ghissassi, Lakbir Hagouch avant que Khalid Outaleb ne prenne la relève et tous les dirigeants méritants qui ont œuvré ou qui œuvrent à leurs côtés.
Pas vraiment. Le beau Central d’Al Amal porte pendant cette 26ème édition et portera pour toujours le nom de « Mohamed Mjid ». Un bel hommage et une belle reconnaissance amplement mérités. Chapeau bas également, à tous ces directeurs qui se sont succédé depuis la création du Trophée en 1984. Nous citerons Larbi Outaleb, Fayçal Ghissassi, Lakbir Hagouch avant que Khalid Outaleb ne prenne la relève et tous les dirigeants méritants qui ont œuvré ou qui œuvrent à leurs côtés.
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